Le positivisme a ses limites
"Dan, souris". "Dan, change d'air". "Dan, veux-tu ben me dire pourquoi tu fais l'air bête, t'as pas de raison de pas être content".
Comme vous voyez, je ne suis pas le genre de personne perçue par son négativisme, au contraire. Mais des fois, j'en ai ma claque. Moi aussi ça m'arrive de ne pas bien aller. Moi aussi ça m'arrive d'être malheureux. Moi aussi ça m'arrive de manquer de motivation. Moi aussi ça m'arrive de chialer sur n'importe quoi juste pour chialer. Est-ce mal ? Certains me le reprochent. Et pourtant, ce sont ces mêmes personnes qui adoptent le même comportement qu'ils désirent ne pas voir chez autrui. Tête dans le sable ou bien pure démonstration de la contradiction existant chez ces personnes ?
N'empêche qu'on a tous ses moments où "les batteries sont à plat". Du positif, je veux bien en avoir, mais des fois, mon sac de positivisme est vide tellement j'ai pu en donner, particulièrement à certaines personnes qui prennent un malin plaisir à en abuser. Ces personnes viennent piger dans ce sac le temps où ça leur plaît puis repartent avant de venir en rechercher quand eux ne vont pas bien. Et quand c'est moi qui faiblit, je me dois de changer. Eh bien à ces personnes qui ne sont nullement habituées à m'entendre dire cela parce que je dois rayonner de joie et de bonheur pour pallier à leur existence si noire et si déprimante, allez-vous faire foutre, j'ai droit moi aussi à mes moments de découragement et j'ai le droit, tout comme vous, de chialer quand ça va mal. Si vous n'êtes pas contents, regardez votre petit nombril et tentez de trouver ce que vous pourriez faire pour que votre existence soit plus rayonnante au lieu de venir me voler ma joie et mon bonheur, vous ne les méritez même pas.
P.S. Pour ceux qui se demanderaient si ça les concerne, sachez que si vous êtes encore mon ami(e) et que je vous parle encore d'une quelconque façon, vous ne faites pas partie de cette catégorie de personnes alors ne paranoïez pas.
Comme vous voyez, je ne suis pas le genre de personne perçue par son négativisme, au contraire. Mais des fois, j'en ai ma claque. Moi aussi ça m'arrive de ne pas bien aller. Moi aussi ça m'arrive d'être malheureux. Moi aussi ça m'arrive de manquer de motivation. Moi aussi ça m'arrive de chialer sur n'importe quoi juste pour chialer. Est-ce mal ? Certains me le reprochent. Et pourtant, ce sont ces mêmes personnes qui adoptent le même comportement qu'ils désirent ne pas voir chez autrui. Tête dans le sable ou bien pure démonstration de la contradiction existant chez ces personnes ?
N'empêche qu'on a tous ses moments où "les batteries sont à plat". Du positif, je veux bien en avoir, mais des fois, mon sac de positivisme est vide tellement j'ai pu en donner, particulièrement à certaines personnes qui prennent un malin plaisir à en abuser. Ces personnes viennent piger dans ce sac le temps où ça leur plaît puis repartent avant de venir en rechercher quand eux ne vont pas bien. Et quand c'est moi qui faiblit, je me dois de changer. Eh bien à ces personnes qui ne sont nullement habituées à m'entendre dire cela parce que je dois rayonner de joie et de bonheur pour pallier à leur existence si noire et si déprimante, allez-vous faire foutre, j'ai droit moi aussi à mes moments de découragement et j'ai le droit, tout comme vous, de chialer quand ça va mal. Si vous n'êtes pas contents, regardez votre petit nombril et tentez de trouver ce que vous pourriez faire pour que votre existence soit plus rayonnante au lieu de venir me voler ma joie et mon bonheur, vous ne les méritez même pas.
P.S. Pour ceux qui se demanderaient si ça les concerne, sachez que si vous êtes encore mon ami(e) et que je vous parle encore d'une quelconque façon, vous ne faites pas partie de cette catégorie de personnes alors ne paranoïez pas.