Ouf, ouf...

Une goutte se forme sur mon front, coule tout doucement, contourne ma joue et ses nombreux poils de barbe puis quitte mon visage pour éclabousser une surface de bois quelconque. Pourquoi un tel phénomène se produit-il ? Eh bien, parce qu'il fait chaud ! Depuis quelques jours au Québec, nous vivons une chaleur écrasante, étouffante qui nous pousse à nous prélasser au soleil en effectuant le moins de mouvements possible. J'aime bien la chaleur, mais passé 25 degrés, ça commence à ne plus être très agréable pour mon corps. Et quand le facteur humidex (terme que Steph adore tellement :P) indique une température frôlant les 40 degrés, ça en devient tout simplement étouffant.

Il y a tout de même des choses que j'apprécie lorsqu'il fait très chaud. Premièrement, nous avons souvent droit à la formation d'orages assez spectaculaires. Comme j'adore les orages, j'ai l'impression d'être un petit enfant de cinq ans devant un jouet lorsque l'un de ceux-ci se forme après une grosse chaleur. Ensuite, avant que l'orage n'éclate, un courant d'air frais se fait souvent ressentir, véritable paradoxe avec la chaleur écrasante qui le précédait. La confrontation du chaud et du froid est un phénomène qui m'a toujours fasciné et qui continue à le faire. Comme quoi la nature restera un spectacle qui ne cessera probablement jamais de m'émerveiller !